lundi 26 février 2007

Le choix




Aujourd’hui, deux voies s’ouvrent aux Français, aux conséquences biens différentes, celle d’une « rupture libérale », celle du « développement solidaire ».
La droite, au-delà d’un discours vaguement compassionnel, considère que le « modèle social français » a vécu et prépare une société où chacun est abandonné à ses succès ou à ses malheurs personnels. Le chemin qu’elle trace n’a pas d’autre issue qu’un autoritarisme libéral favorisant de fait le communautarisme. Nous en connaissons les effets. La « France d’après », c’est la France des inégalités et de la division. Inégalités entre pauvres et riches que l’on accentue par l’injustice fiscale et l’atteinte aux droits sociaux. Inégalités entre diplômés et non diplômés que l’on creuse en laissant s’abîmer le système éducatif. Division entre habitants des banlieues et les autres citoyens que l’on renforce parfois par le mépris et surtout par l’inaction. Division, enfin, entre religions que l’on encourage en tournant le dos aux principes de notre République laïque. La rupture des solidarités fondamentales dans notre société conduit aujourd’hui, et demain plus encore aux violences et aux peurs qu’elles engendrent.
Les socialistes, au contraire, veulent une société unie, ouverte, apaisée,qui permet de lutter contre toutes les formes de précarité, de donner à chacun la protection qu’il mérite et l’égalité de chances pour construire sa vie. Nous voulons conjuguer la croissance économique pour apporter la prospérité et la redistribution des richesses, avec la responsabilité vis-à-vis des générations futures.

Notre projet doit à la fois répondre à l’urgence sociale et à l’exigence d’un nouveau modèle de développement. Il doit nous permettre d’agir pour le plein emploi, d’aller vers l’égalité réelle, de refonder la République, en mettant en œuvre une démarche démocratique nouvelle, et de mettre la France en situation de relancer l’Europe et de contribuer à maîtriser la mondialisation.

L’ambition que nous proposons aux Français est collective. C’est une ambition qui s’adresse à tous et demande le concours de chacun. Un projet pour la France. Un projet pour les Françaises et les Français. Un projet pour réussir le changement.

Et un petit pour la route...

Nicolas Sarkozy "garant" de l'ordre moral vient de se prononcer pour une autorisation de publicité du Vin en France...Les amis de la PREVENTION routiere apprecieront.

Visiblement certains de ses amis n'ont pas attendu de telles mesures pour sembler considerer que la bouteille de rouge qui tache est le plus beau symbole de la culture francaise...

L'equipe du pacte presidentiel



Jeudi 22 février, Ségolène Royal a annoncé la nomination d'une équipe du Pacte présidentiel qui compte, entre autres, Lionel Jospin, François Hollande, Dominique Strauss-Kahn, Laurent Fabius, Pierre Mauroy, Edith Cresson, Henri Emmanuelli, Bernard Kouchner, Bertrand Delanoë, Gérard Collomb, Martine Aubry et Yvette Roudy.

Ségolène Royal s'est déclarée heureuse de l'arrivée de Lionel Jospin dans son équipe de campagne, qui est désormais la meilleure équipe composée à la fois de personnalités expérimentées et d'une nouvelle génération.

"Mon objectif est de rassembler les socialistes, toute la gauche (...) Je veux rassembler au-delà de la gauche tous ceux qui ont envie que ça change".

François Hollande s'est déclaré fier de Ségolène Royal : "Je veux dire à Ségolène qu'elle a eu raison de rassembler, elle a eu raison aussi d'appeler toutes les générations (...)Je suis fier qu'elle ait fait ce geste et qu'elle ait su emmener Lionel Jospin dans cette campagne, emmener Laurent Fabius et Dominique Strauss-Kahn et tant d'autres, pour nous faire une très belle campagne qui doit être demain ou après-demain une très belle victoire"

dimanche 25 février 2007

Le vrai visage de l'adversaire



Ce qu'elle en dit:
"J'en vois déjà certains qui s'auto-célébrent, qui se congratulent, qui se désignent avant l'heure. Comme si les Français s'étaient déjà prononcés, comme si l'élection se jouait sur la base de quelques pronostics.

Laissons-les croire, laissons-les à leur arrogance! Avançons sereinement sur notre chemin. Il est le bon."






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Recommandé par des Influenceurs.


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Le site officiel du mouvement des jeunes socialistes.N'hesitez pas a adherer et a participer pleinement a cette campagne historique!

inauguration du QG






Ségolène Royal : Inauguration du siege de campagne - kewego
Ségolène Royal : Inauguration du siege de campagne - kewego

Ségolène Royal : Inauguration du siege de campagne - kewego
Ségolène Royal : Inauguration du siège de campagne. , rue de Solférino

Le 21 janvier 2007

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La Révolution démocratique


La campagne des élections présidentielles va permettre de refonder ce pacte républicain et d’apporter la preuve que la parole sera tenue. C’est pourquoi cette campagne devra être participative. Parce que ce pacte républicain doit être redéfini avec tous les Français. C’est parce que nous arriverons à faire lever leur parole pendant cette campagne que nous aurons ensuite l’obligation de respecter la parole donnée, qui a si souvent manqué au peuple français »Vitrolles, 29 septembre 2006
« L’intérêt général s’efface dans la confusion et l’irresponsabilité des pouvoirs »
« L’intérêt général s’efface dans la confusion et l’irresponsabilité des pouvoirs. Le débat démocratique est confisqué (on vient encore d’en avoir un exemple avec la politique étrangère). Les promesses électorales sont oubliées. Le dialogue social est archaïque. La décentralisation a été dévoyée. Le sens de la plus élémentaire humanité est perdu dans des expulsions à grand spectacle.Notre justice est ébranlée. L’Etat perd sa crédibilité car le gouvernement actuel, tout à son agitation fébrile, n’a plus de boussole. Il fait adopter une nouvelle loi sur l’immigration deux ans après celle qu’il a déjà fait voter. Il décide, malgré sa promesse formelle au Parlement, la privatisation de Gaz de France. Il expulse des enfants qui veulent apprendre à l’école mais laisse filer la délinquance de masse sans s’attaquer à ses causes profondes. Comment s’étonner que, dans ces conditions, le lien de confiance soit dramatiquement affaibli ? Toutes les élections et toutes les enquêtes d’opinion de ces dernières années délivrent obstinément le même message : les Français ne se sentent ni écoutés ni entendus ni compris. Ils ne sont pas devenus indifférents à la politique mais ils veulent une démocratie qui fonctionne mieux et avec eux, dans laquelle chacun se sente respecté. »Fête de la Rose de Frangy en Bresse, 20 août 2006
Combattre le sentiment d’impuissance :
« C’est un choix politique : celui de combattre le sentiment d’impuissance qui mine la démocratie et de partager plus largement les décisions pour améliorer l’action publique. Car nous avons tous soif de considération, soif de maîtrise personnelle de nos existences, soif d’efficacité collective et de résultats sans gaspillages ni lenteurs.Des institutions de la République qui exercent la plénitude de leurs attributions avec l’aide de citoyens qui ne soient plus exclus d’une histoire qui est la leur : c’est cela aussi la juste autorité de l’Etat. »Fête de la Rose de Frangy en Bresse, 20 août 2006
« Il nous faudra accomplir une révolution démocratique et mettre en place une nouvelle République »
« Il nous faudra accomplir une révolution démocratique et mettre en place une nouvelle République. Ce que je vous propose, ce n’est pas une politique au rabais, sorte de gouvernance aseptisée réduite à la simple gestion à la marge du désordre des choses. C’est de mieux partager l’exercice du pouvoir pour que la France saisisse toutes ses chances en assumant cette « passion de l’égalité » qui est la sienne.Ce que je vous propose, c’est une révolution démocratique fondée :- sur l’intelligence collective des citoyens ;- sur une vraie décentralisation qui identifie les responsabilités et rende l’Etat plus efficace ; « décentralisation », le mot a été bien usé et bien galvaudé mais nous le réhabiliterons en lui donnant tout son sens qui affirme l’intelligence des territoires ;- sur une démocratie sociale dans l’entreprise qui permette, enfin, de moderniser les relations sociales.Fête de la Rose de Frangy en Bresse, 20 août 2006
Améliorer la représentativité du Parlement, et le renforcer :
« Cela passe par une plus juste représentation des Françaises et des Français dans la diversité de leurs origines sociales et géographiques, par le respect la parité, par le non-cumul des mandats, par un système où la responsabilité soit la règle (à commencer par celle du Chef de l’Etat) et où le Parlement ait un réel pouvoir d’impulsion et de contrôle du gouvernement. Cela suppose aussi que les parlementaires soient bien présents à l’Assemblée nationale, raison pour laquelle le non-cumul des mandats est nécessaire. »Fête de la Rose de Frangy en Bresse, 20 août 2006
S’appuyer sur la démocratie participative :
« Cela passe aussi par une démocratie participative qui élargira la consultation des citoyens, leur pouvoir d’initiative et de décision, notamment par referendum d’initiative populaire et par ce referendum que nous organiserons (…) pour mettre en place une grande réforme institutionnelle.Je crois à la capacité d’expertise des citoyens. Certains se sont moqués de cette idée de « citoyens experts » mais je suis convaincue que chacun d’entre nous est le mieux à même de connaître et d’exprimer ses problèmes, ses attentes et ses espérances, sans pour autant se fermer au point de vue de l’autre. Si beaucoup de Français s’abstiennent, ce n’est pas de gaieté de cœur ou par indifférence, c’est parce qu’ils se sentent tenus à l’écart et n’ont plus le sentiment de pouvoir influer. Pour avoir envie de s’impliquer, il faut que la prise de parole ait des chances de peser. De plus en plus, nous ne reconnaissons de réelle légitimité qu’aux décisions auxquelles nous avons été associés.C’est cela, la démocratie participative : écouter pour agir juste, construire ensemble de meilleures décisions et rendre des comptes. Plus les gens y seront associés, plus les réformes seront solides. »Fête de la Rose de Frangy en Bresse, 20 août 2006
Décentraliser :
« Si on veut revivifier la démocratie, si on veut redonner au gens l’envie de venir voter, si on veut faire en sorte d’être plus intelligent collectivement, il faudra faire un peu plus,. Je vais utiliser un mot qui est totalement usé, galvaudé, et pourtant pour l’instant je n’en vois pas d’autre. Il faudra faire une réforme jusqu’au bout de la décentralisation. Jusqu’au bout, c’est-à-dire donner la responsabilité des territoires. L’objectif, ce n’est pas renforcer le pouvoir des notables, que nous sommes, j’en suis, je suis une, présidente de région. C’est rapprocher les décisions des citoyens. » Villeurbanne, 9 mai
Une VIème République ?
« Faisons d’abord les choses et nommons-les ensuite Seul le respect créé la confiance. Et la confiance nourrit le désir d’avenir.Cette révolution démocratique indispensable pour mener des réformes durables et pour atteindre les quelques objectifs dont je vous ai parlé, conduira-t-elle à une 6ème République ? Je vous propose d’y répondre en nous fondant sur ce principe de respect et sur cette politique par la preuve que j’ai évoqués tout à l’heure : faisons d’abord les choses et nommons-les ensuite. Quand nous aurons accompli cette révolution démocratique et cette réforme institutionnelle, lorsque nous aurons tenu parole, alors nous saurons si nous sommes en train de créer une 6ème République. Je vous donne rendez-vous à ce moment-là pour savoir si nous avons réussi, car ce qui est important c’est une conception exigeante de la responsabilité de la fonction politique. Et aussi une manière plus transparente, plus simple, plus directe, d’exercer le pouvoir. »Fête de la Rose de Frangy en Bresse, 20 août 2006
Un chef de l’Etat pour mobiliser les talents :
« J’entends dire, çà et là, qu’il faudrait pour diriger la France une expérience que très peu possèderaient ici-bas. Il est vrai que l’expérience personnelle est importante mais elle ne suffit pas car ce qui compte, aujourd’hui plus qu’hier, c’est la capacité à mobiliser l’expérience collective, à mobiliser toutes les volontés et tous les talents d’un pays qui puise sa force dans sa diversité, à mobiliser, au delà, tous ceux qui veulent tout simplement que ça change. »Fête de la Rose de Frangy en Bresse, 20 août 2006

Ce qu'elle dit de l'education



Donner à chaque enfant le droit à la culture »« Je crois, moi, que la gauche est la seule capable de remettre l’éducation au cœur de tout, de remettre l’école d’aplomb, de remettre de la culture partout, sur tout le territoire, de donner à chaque enfant le droit à la culture et à une ambition scolaire ainsi qu’à la récompense de l’effort. » Discours de Vitrolles, 29 septembre 2006 « La gauche, c’est créer et garantir les conditions nécessaires pour que chacun ait, à égalité, les moyens et la possibilité d’assumer sa responsabilité et de construire librement sa vie »« La gauche, c’est créer et garantir les conditions nécessaires pour que chacun ait, à égalité, les moyens et la possibilité d’assumer sa responsabilité et de construire librement sa vie. La responsabilité individuelle et la récompense de l’effort ne sont pas des valeurs conservatrices. Ce sont des valeurs progressistes et je les revendique pour les socialistes, dès lors que les réformes, c’est-à-dire l’action politique vigoureuse, permettent d’en créer pour tous les conditions, au premier rang desquelles, l’éducation, la formation professionnelle et l’accès à la culture. Ce combat pour l’égalité réelle est permanent : il suppose beaucoup de détermination, de constance, de lucidité pour déboucher sur de vrais résultats. »Fête de la Rose de Frangy en Bresse, 20 août 2006Un animateur culturel dans les lycées contribue à la réussite scolaire« Ils (les lycéens) nous ont dit : « écoutez, si la façade est délabrée c’est pas grave, mais en revanche, donnez-nous un vrai lycée équipé, donnez-nous un animateur culturel pour faire du théâtre, pour faire de la musique, parce que ça fait partie de la réussite scolaire et de la lutte contre les inégalités par la culture ». (…) Du coup, on a recruté des animateurs culturels. Maintenant dans tous les lycées [de la Région Poitou-Charentes], il y a des groupes de musique ou des scènes de théâtre ».Discours à Villeurbanne, 9 mai 2006Les budgets participatifs ont permis de mesurer la demande de culture dans les lycées« Le budget participatif : une source d’inspiration, aussi, pour nos politiques en direction des jeunes : je pense en particulier à la force avec laquelle, lors de ces réunions, s’est exprimée une demande de culture dans les lycées. Elle nous a conduits à implanter cette année dans chaque établissement un poste d’animateur culturel pour aider les lycéens à monter et mener à bien des projets dans ce domaine : une dimension forte, désormais, de la vie lycéenne et un nouveau métier, de nouveaux emplois créés pour mieux répondre à ce besoin. »Ouverture de l’Université d’été d’Attac, 25 Août 2006L’internat-relais doit favoriser l’accès aux activités culturellesA propos des internats-relais : « On les sort du collège parce qu’ils perturbent le collège et on les recadre dans des structures éducatives, dans un appartement de proximité. Les parents peuvent continuer à être associés aux encadrants qui vont reprendre les enfants, les lever à l’heure le matin, leur redonner des règles de vie en commun, leur faire faire leurs devoirs, faire en sorte qu’ils fassent du sport, des activités culturelles. »Les 4 vérités, France 2, 2 juin 2006

tous avec sego!!!!

Participez à la campagne 2007 avec Ségolène Royal